By MadaraBodara - lun. mars 27, 2017 5:19 pm
- lun. mars 27, 2017 5:19 pm
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Red, une célèbre chanteuse dans la cité de Cloudbank, est attaquée par la Camerata. La Camerata est une organisation qui avec une force robotique appelée le Process essaye de fonder une ville idéale. Red ayant perdu sa voix, elle s'empare d'une lame plongée dans le corps de l'inconnu, qui paraît être très proche de Red, et décide de se venger de la Camerata. Il s'avère que le Transistor parle avec la voix du jeune homme tué. La lame va donc être le narrateur durant toute l'histoire. Le but de Red va être de découvrir le but de la Camerata et d'arrêter le Process, qui commence à détruire la ville et ses habitants.
La musique : La musique est très bien faite, de superbes chansons avec une super chanteuse, Ashley Barrett, et un OST complet qui s'intègre parfaitement à l'univers. Connu comme étant un des piliers de l'indépendant, Transistor a révolutionné la manière d'introduire la musique dans les jeux vidéos.
La narration : Une très bonne histoire, une chute inattendue, des mystères, de la recherche d'information, tout y est. Supergiant Games montre une nouvelle fois sa capacité à créer des jeux de qualité.
Le gameplay : Intuitif, simple et complexe à la fois, il introduit une nouvelle manière de jouer plutôt innovante. Si les possibilités sont nombreuses, on prend un grand plaisir à essayer de nouveaux combos pour détruire une nouvelle fois nos ennemis.
La rejouabilité : Pour tout amateur de challenges, Transistor offre une bonne expérience de jeu avec une possibilité d'augmenter la difficulté selon le bon-vouloir du joueur.
Les graphismes : Très épurés, le style de Supergiant Games est très agréable, ils ont amélioré leur technique depuis Bastion, mais il reste très reposant à voir, tout en illustrant parfaitement le monde dans lequel on évolue.
La rejouabilité : Si la difficulté est grandissante, l'histoire ne permet par contre aucun retour en arrière efficace comme le fait Undertale ou les jeux du genre. Le jeu étant concentré sur la narration, il peut être ennuyant d'y jouer plus d'une ou deux fois.
Durée de vie : Le jeu est court, et ce peu importe ce que l'on fait dans le jeu. Même si il y a la possibilité d'explorer, le jeu ne laisse que peu d'importance au libre arbitre du joueur et le gameplay est linéaire. Tout comme Bastion.
Conclusion : Très bon jeu, avec Bastion, Transistor prouve que les petits studios font d'aussi bons jeux que les multi-nationales, avec une histoire tout aussi entraînante. La musique est magnifique, très bien placée et enrichit l'expérience de jeu.
Transistor()
ON
ON
Transistor
Supergiant Games (Bastion, Pyre)
PC-PS4 : 20 mai 2014 - iOS : 10 juin 2015
Supergiant Games (Bastion, Pyre)
PC-PS4 : 20 mai 2014 - iOS : 10 juin 2015
Synopsis (Wikipédia)
Red, une célèbre chanteuse dans la cité de Cloudbank, est attaquée par la Camerata. La Camerata est une organisation qui avec une force robotique appelée le Process essaye de fonder une ville idéale. Red ayant perdu sa voix, elle s'empare d'une lame plongée dans le corps de l'inconnu, qui paraît être très proche de Red, et décide de se venger de la Camerata. Il s'avère que le Transistor parle avec la voix du jeune homme tué. La lame va donc être le narrateur durant toute l'histoire. Le but de Red va être de découvrir le but de la Camerata et d'arrêter le Process, qui commence à détruire la ville et ses habitants.
Points forts :
La musique : La musique est très bien faite, de superbes chansons avec une super chanteuse, Ashley Barrett, et un OST complet qui s'intègre parfaitement à l'univers. Connu comme étant un des piliers de l'indépendant, Transistor a révolutionné la manière d'introduire la musique dans les jeux vidéos.
La narration : Une très bonne histoire, une chute inattendue, des mystères, de la recherche d'information, tout y est. Supergiant Games montre une nouvelle fois sa capacité à créer des jeux de qualité.
Le gameplay : Intuitif, simple et complexe à la fois, il introduit une nouvelle manière de jouer plutôt innovante. Si les possibilités sont nombreuses, on prend un grand plaisir à essayer de nouveaux combos pour détruire une nouvelle fois nos ennemis.
La rejouabilité : Pour tout amateur de challenges, Transistor offre une bonne expérience de jeu avec une possibilité d'augmenter la difficulté selon le bon-vouloir du joueur.
Les graphismes : Très épurés, le style de Supergiant Games est très agréable, ils ont amélioré leur technique depuis Bastion, mais il reste très reposant à voir, tout en illustrant parfaitement le monde dans lequel on évolue.
Point faible :
La rejouabilité : Si la difficulté est grandissante, l'histoire ne permet par contre aucun retour en arrière efficace comme le fait Undertale ou les jeux du genre. Le jeu étant concentré sur la narration, il peut être ennuyant d'y jouer plus d'une ou deux fois.
Durée de vie : Le jeu est court, et ce peu importe ce que l'on fait dans le jeu. Même si il y a la possibilité d'explorer, le jeu ne laisse que peu d'importance au libre arbitre du joueur et le gameplay est linéaire. Tout comme Bastion.
Conclusion : Très bon jeu, avec Bastion, Transistor prouve que les petits studios font d'aussi bons jeux que les multi-nationales, avec une histoire tout aussi entraînante. La musique est magnifique, très bien placée et enrichit l'expérience de jeu.
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